Qui sommes-nous?

RP Mesrop Topalian, mag., docteur en théologie

Le très révérend père Mesrop Topalian, mag., docteur en théologie, est né à Kfardelakos, Zghorta, au Liban. Après ses études scolaires, il étudie la théologie et la philosophie à l’Université de Vienne (1973-1979), et, après son ordination le 9 septembre 1973, il enseigne l’ancien et le nouveau arménien au Séminaire des mékhitaristes à Vienne, ainsi qu’à l’Institut des langues indo-germaniques de l’Université de Vienne également (1977-1979). Il occupe les fonctions de rédacteur en chef du « Handes Amsorya Magazine for Armenian Philology » (« Magazine Handes Amsorya pour la philologie arménienne ») de 1984 à 1987. Il décroche une maîtrise (1986) et un doctorat ( 1987) en théologie à la même unviversité. sert comme assistant et pasteur à Vienne, Los Angeles, Beyrouth et, depuis 2002, à Anjar, au Liban. Le père Topalian est connu pour être un prédicateur et un écrivain dans plusieurs journaux et magazines arméniens sous le pseudonyme Mesrop Hayouni (« Մեսրոպ Հայունի »). Il est l’auteur de plus de 55 ouvrages portant sur des thèmes traitant de spiritualité, philologie, mariologie et littérature. Depuis 2003, en tant que fondateur-éditeur, il publie le « Moussaler Armenian Catholic Monthly » (« Mensuel arménien-catholique Moussaler »), et la revue « Mariam Bulletin mariologique ».

Dikran A. Tchablakian

M. Dikran Tchablakian, citoyen singapourien, est né en 1952 à Beyrouth, Liban. M. Tchablakian poursuit des études secondaires à l’International College of Beirut puis universitaires à l’American University of Beirut où il obtient un diplôme en Business Administration (gestion des entreprises). M. Tchablakian fonde alors NewTek, entreprise qui table sur la distribution des TI au Moyen-Orient. Début 2005, après avoir réalisé une capitalisation boursière de $10M, NewTek fusionne avec deux autres sociétés, ACT et Elite Computer Services en Arabie saoudite, fondant ainsi une entreprise issue de la fusion, EJADA. Aujourd’hui, Ejada est la société de TI la plus importante de la région, employant 600 personnes et réalisant des revenus de $200M.

M. Tchanlakian fonde aussi, en 1998, CompuMe,« le magasin à grande surface le plus important au Moyen-Orient ». Les opérations de franchise couvrent les EAU, l’Arabie saoudite, l’Égypte et Bahreïn. Début 2007, CompuMe LLC Dubai Operation fusionne avec i2 Group qui détient déjà 300 magasins dans 23 pays de la région (Moyen-Orient, Afrique et G-B) pour les téléphones mobiles représentant NOKIA. Début 2013,CompuMe change de nom pour devenir TecBuy après avoir vendu la marque CompuMe. À présent, il occupe le poste de CEO (PDG) de Tecbuy. Tout au long des 10 années passées, M. Tchablakian investit dans différentes activités diversifiées et élargit son horizon d’affaires à travers l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique le Japon et Taïwan. M. Tchablakian parle le français, l’anglais, l’italien, l’arabe et l’arménien.

Krikor K. Jabourian

Libanais d’origine arménienne, Krikor Jabourian est un entrepreneur mondial ayant fondé et géré plusieurs affaires, surtout au Moyen-Orient où il a vécu durant plus de 30 années. Il entame son éducation à l’école catholique Mesrobian, Bourj Hammoud, au Liban, continue ses études à l’École mékhitariste à Hazmieh puis à l’École des arts et métiers. Après le lycée en France, il décroche une maîtrise en génie électrique à l’Institut polytechnique d’Erevan en Arménie puis quitte pour le Moyen-Orient, tout d’abord vers la capitale des EAU, Abou Dhabi, ensuite Dubaï en 1988 pour y établir Gulf Computer Support Systems, qui a des branches dans toutes villes prinipales des pays du CCG. Profitant de la croissance rapide de l’infrastructure dans la région, il fonde ensuite une société distincte consacrée aux équipements de services aéroportuaires au sol, AORPO-TECH LLC, instituant un important portefeuille clients et sillonnant le globe pour créer des produits adaptés aux besoins d’un marché en croissance. Jouissant d’un sens aigu des affaires bien rodé, Krikor allie le marketing, les ventes, et les talents de gestion de projets et financière à des talents exceptionnels d’entregent, aussi bien avec son personnel qu’avec sa clientèle. Il est également multilingue, maîtrisant l’anglais, le français, l’arabe et l’arménien. Menant une bonne vie professionnelle et personnelle, il est un membre actif du Rotary Club, et membre de la Chaîne des Rôtisseurs et du Dubai World Trade Club (Club commercial mondial de Dubaï).

Koko Garabet Sakayan

Koko Garabed Sakayan est né à Anjar, au Liban, le 22 novembre 1968. De 1988 à 1990, il étudie l’art à l’Académie Toros Roslin des beaux-arts à Beyrouth. En 1993, il se rend à Venise, en Italie, et y décroche un diplôme de l’Académie des beaux-arts. Il visite plusieurs fois les États-Unis de 1999 à 2003, organisant des expositions à Detroit, Los Angeles, Washington D.C. et en Virginie. De 2003 à 2006, il réside la plupart du temps à Vienne et Donnerskirchen. Il organise aussi des expositions en solo en Italie et au Liban. Durant les années 2012 et 2013, Koko travaille à la réalisation de 12 tableaux pour l’autel de l’Église arménienne-catholique Sainte-Marie du Rosaire à Anjar, au Liban. Il est détenreur de plusieurs prix et distinctions reçus durant sa carrière artistique.

Montegrappa

Depuis 1912, Montegrappa fabrique des instruments d’écriture dans le même bâtiment historique sur la rive de la rivière Brenta. La rivière serpente à travers les régions les plus pittoresques de la partie nord-est prospère d’Italie, traversant la ville historique de Bassano del Grappa. Son patrimoine italien forme un élément du caractère de l’entreprise: c’est le premier fabricant italien de stylos. L’ « italienité » forme le cœur de la tradition de Montegrappa. C’est le guide de la philosophie de la société.

Fondée comme « Manifattura pennini d’oro e penne stilografiche » ( « fabricant de plumes dorées et de stylos à encre ») durant une période trouble de l’histoire italienne, Montegrappa était un sous-produit de l’histoire social de la région. La transition du XIXe au XXe siècle se distingua par des changements sur le plan des conditions de travail, des mouvements de l’agraire vers le milieu urbain. Montegrappa – initialement connue sous le nom d’ELMO – bénéficia d’un groupe de talents locaux, d’une main-d’œuvre capable de produire des objets finement ouvrés avec style et panache, et recherchant constamment l’excellence.

Montegrappa figure parmi les premiers qui utilisèrent le celluloid et la galalith, la rendant un matériau de choix pour les stylos de qualité supérieure. Les artisans qualifiés furent en mesure de perfectionner le processus de fabrication grâce à des solutions techniques originales et précises, qui servirent de plateforme au sens artistique des concepteurs de stylos. Durant la décennie suivante, Montegrappa produit de nombreux modèles, qui constituent à présent des collections très recherchées.

Les stylos de Montegrappa ont joué leur rôle dans l’histoire pour la signature de documents durant les moments cruciaux du Xxe siècle. Ainsi, des dirigeants italiens célèbres, tels que Victor-Emmanuel II et Benito Mussolini, utilisèrent des stylos Montegrappa. Parmi les leaders russes de la dernière partie du siècle, Boris Eltsine offrit le 2 janvier 2000 à Vladimir Poutine son stylo Dragon au moyen duquel il lui remit symboliquement ses pouvoirs. Le président russe Dmitri Medvedev signe tous les documents officiels avec le Montegrappa Extra 1930.